La menace du changement climatique a fait de la décarbonisation de notre environnement bâti un objectif essentiel. Dans cet article, [nom ou intitulé du poste] se penche sur la question du carbone incorporé, sur les raisons de son importance et sur la manière dont une sélection rigoureuse des matériaux et des produits peut contribuer à atténuer l’impact environnemental d’un bâtiment.
Il ne fait aucun doute que la volonté de parvenir à une consommation neutre en carbone n’a jamais constitué une priorité aussi élevée. Cependant, l’accent est souvent mis sur le carbone opérationnel, c’est-à-dire les émissions associées au chauffage, à l’éclairage et à l’électricité d’un bâtiment, plutôt que sur le carbone incorporé. Il s’agit des émissions associées à la production de matériaux et au processus de construction. Il comprend tout, de l’extraction des matières premières au processus de fabrication, en passant par le transport et l’installation dans le bâtiment.
Selon les estimations du Royal Institute of British Architects (RIBA), pour un immeuble de bureaux typique, les émissions incorporées jusqu’à l’achèvement pratique pourraient représenter jusqu’à 35 % des émissions totales de carbone du bâtiment pendant sa durée de vie théorique de 60 ans. Pour un immeuble résidentiel, ce chiffre pourrait grimper à 51 % des émissions totales de carbone.
Cependant, le calcul du carbone incorporé d’un bâtiment présente quelques difficultés, notamment le nombre d’éléments à évaluer et la disponibilité des données sur le carbone incorporé. Il s’agit d’un domaine en développement, et de nombreux fabricants et fournisseurs s’efforcent désormais de réduire le carbone incorporé de leurs produits et de fournir des informations précises pour aider à rationaliser l’évaluation.
La contribution du carbone incorporé à l’impact global d’un bâtiment signifie qu’il est essentiel d’examiner soigneusement ces informations pour tous les matériaux utilisés dans un projet. Certains produits auront des niveaux beaucoup plus élevés de carbone incorporé en raison de la nature de leur production ou de l’origine des matières premières. Par exemple, les produits fabriqués à partir d’aluminium recyclé permettront d’économiser du carbone par rapport au même produit fabriqué à partir d’aluminium primaire. En effet, le retraitement de l’aluminium récupéré ne nécessite qu’environ 5 % de l’énergie nécessaire pour transformer le minerai de bauxite en aluminium utilisable, sans compromis en termes de qualité.
Un nombre croissant des portes, fenêtres et murs-rideaux de TECHNAL sont fabriqués avec de l’aluminium Hydro CIRCAL® 75R. Il s’agit d’un aluminium de haute qualité qui contient un minimum de 75 % d’aluminium recyclé en fin de vie (déchets de post-consommation), provenant notamment de façades et de fenêtres retirées de bâtiments. En conséquence, il présente l’une des empreintes carbone les plus faibles au monde, avec 2,3 kg d’émissions de CO2 par kilogramme d’aluminium. Un chiffre qui représente 86 % ou 7 fois moins que la moyenne mondiale dans le cadre de l’extraction primaire.
